Carmen Wittelsbach › messages : 12
› date d'arrivée : 27/05/2013
 |  Sujet: ✝ la maladie d'amour Lun 27 Mai - 14:20 | |
| NOM + Son nom est Wittelsbach. Elle n’a su l’écrire correctement qu’à 8 ans. Son nom est d’origine autrichienne mais son père est allemand. C’est une histoire compliquée, et tout est assez compliqué chez Carmen, du moins la simplicité est proscrite de sa vie, comme en témoigne son nom de famille. C’est le nom de famille d’un grand chef de la mafia, son père, que Carmen porte comme un fardeau, mais avec une fierté qu’elle ne dissimule pas. PRÉNOMS + Elle tient son prénom d’un grand opéra français du XIX° siècle, l’opéra Carmen. Sa mère en était une fan incontestable et avait toujours vu en la naissance de sa fille (après avoir eu deux garçons) la chance que celle-ci devienne une grande soprano. SURNOMS + Carmen n’a pas de surnom tiré de son prénom. Elle s’appelle Carmen. Carmen c’est Carmen. C’est tout. Elle n’a en revanche rien contre les petits noms affectifs qu’on peut parfois lui donner, tels que « Blondie », « chérie », etc. DATE ET LIEU DE NAISSANCE + Elle est née un 14 février, jour des amoureux, à Londres. ÂGE + La jeune femme a eu 23 ans en février dernier. Elle doit être l'une des rares jeunes femmes de son âge à regretter d'être si jeune, sa situation amoureuse oblige : en couple avec un homme plus vieux qu'elle dont elle est amoureuse, et qui est de surcroit marié, elle a peur que son âge compromette leur avenir. NATIONALITÉ + Anglaise. SITUATION FINANCIÈRE + .moyenne STATUT CIVIL + En couple avec un homme marié. GROUPE + hiver. Elle a quitté son pays natal pour une nouvelle vie, loin de sa famille, des affaires crapuleuses de son père, et plus proche de la danse classique. AVATAR + Aimee Teegarden CRÉDITS + tumblr - Y’a déjà assez de conneries dans le monde pour que j’en rajoute. -
(+) n'aime pas parler de son boulot de danseuse (+) a deux grands frères surprotecteur et une petite soeur qui la prend pour modèle (+) ses parents sont divorcés mais ils s'entendent bien quand même, pour le bien de leurs enfants (+) elle rêve de devenir une grande danseuse (+) elle déteste la pluie et son odeur, elle sort donc rarement quand il y a une averse (+) elle est une maniaque de premier choix, chaque chose à sa place et une place unique dans son logement (+) elle a une pièce rien que pour ses vêtements et chaussures, tellement elle est accro au shopping (+) elle déteste manger les fruits rouges et ça depuis son enfance (+) elle est très attachée à ses valeurs familiales, même si en tombant amoureuse d'un homme marié, elle a fait une entorse (+) chaque année durant les fêtes de Noël elle est malade, c'est un peu devenue une tradition (+) elle déteste parler de ses anciens amours, surtout de son premier qui l'a fait énormément souffrir (+) elle a un petit chat tout noir et un dalmatien qu'elle chérie plus que tout (+) son père est un mafieux qui gagne de l'argent de plein de manières, mais aucune qui soit légale (+) elle n'a jamais su cadrer les photos aussi les touristes qui lui demanderont de les prendre en photo le regretteront, têtes coupées et photo de travers sont à prévoir (+) un jour elle a trouvé une montre en or dans la rue (+) elle l'a perdue le lendemain (+) ses premières pointes sont accrochées au dessus de son lit (+) quand elle était petite, elle devenait hystérique quand les télétubbies passaient à la télé (+) à la même époque, petite fille très capricieuse, elle bloquait sa respiration lorsqu'on lui refusait quelque chose, allant parfois jusqu'à s'évanouir (+) elle adore Elton John et Shakespeare (+) si elle n'avait pas été aussi amoureuse de la danse, elle aurait voulu devenir professeur de littérature (+) lorsqu'il grêle et qu'elle est chez ses parents, elle se rend avec sa petite soeur dans son ancienne chambre pour écouter les grêlons tomber sur le velux (+) elle ne mange pas les m&m's marrons (+) lorsqu’elle était enfant, elle allait souvent au bord des lacs le weekends, pour regarder les pêcheurs. Elle leur volait leurs poissons, courait comme une folle, et les relâchaient immédiatement. (+) elle collectionne les figurines à l’effigie des hiboux. C’est étrange, voir même carrément effrayant pour certains, mais elle adore ça. (+) - Alors soyons d'accord pour être en désaccord -
 Ses doigts craquaient sur le piano ancien, plus ou moins ancien qu’elle d’ailleurs, dans la famille on s’était toujours posé la question. Elle passait des journées entières sur ce piano, et ne s’arrêtait pas si on ne la forçait pas pour qu’elle aille manger. Elle était comme ça, sa grand-mère. Passionnée. Sa passion pour la musique l’avait toujours engloutie toute entière, lui laissant même peu de places pour son mari, ses enfants, ses petits-enfants. Sa famille, en somme. Elle était une grande pianiste fut une époque, tellement passionnée que lorsqu’elle devint trop vieille, lorsque ses doigts commencèrent à avoir de l’arthrose, lorsqu’elle se sentit régresser, elle commença à perdre la tête. « Mamie, je déménage. » Ses doigts s’arrêtèrent, et le personnel de la maison de retraite regarda un instant vers les deux femmes, interloqué. « Qui êtes-vous ? » Carmen avala péniblement sa salive. Ce n’était pas la première fois que sa grand-mère ne la reconnaissait pas, bien au contraire, mais c’était chaque fois aussi douloureux que la fois précédente. « Carmen. Ta petite-fille. Tu te souviens mamie ? Bébé Carmie. » Les yeux de sa grand-mère s’illuminèrent, et elle éclata de rire. Elle était très ambivalente maintenant. Elle passait du rire au larme sans que Carmen puisse comprendre ou contrôler quoi que ce soit. Et quand elle pleurait et qu’elle souffrait au plus profond d’elle-même, c’est Carmen qui souffrait le plus. Elle avait toujours été incroyablement proche de sa grand-mère, chérissant les moindres moments qu’elle passait avec elle. Quand elle était petite, elle passait ses après-midi chez elle à faire des compotes et des confitures avec les fruits du jardin de sa grand-mère, et elle refusait d’aller jouer avec ses amies, pour ne surtout pas rater ça. Susan mit ses lunettes et fixa les touches blanches et noires de son instrument. « Tu t’en vas où ? Et pourquoi ? Tu en as marre de moi ? » Carmen sourit tendrement, alors qu’elle aurait voulu pleurer. Bien qu’elle soit proche de ses parents, de ses deux frères et de sa petite soeur, c’était la séparation avec sa grand-mère qui la déchirait le plus. Elle avait l’impression de l’abandonner, comme si elle avait abandonné un nouveau-né. « Je m’en vais pour mes études mamie. Je veux être danseuse tu te souviens ? Et j’ai eu une proposition de la part d’une grande école de danse classique à Dublin, en Irlande. Et puis tu sais, les affaires de papa, tout ça ... J’ai besoin de changer d’air. Alors je m’en vais. » Elle fit un baiser sur la joue ridée de sa grand-mère et lui attrapa la main pour la caresser tendrement. « Mais je ne t’abandonne pas. Je n’ai pas marre de toi tu m’entends ? Jamais ! » Elle resta toute l’après-midi dans la maison de retraite et attendit que sa grand-mère s’endorme pour s’en aller, le coeur serré. Elle ne pouvait s’empêcher de penser que c’était peut-être la dernière fois qu’elle la voyait.
 Carmen était littéralement exténuée d’avoir dansé toute la soirée, durant des heures sans la moindre pause, avec tous ces regards salaces posés sur elle. C’est ce qu’elle aimait le moins, les regards des clients de la discothèque. Car ce soir, elle n’avait pas dansé pour un ballet. Ce soir, elle avait travaillé, comme tous les mardi et jeudi soirs, en se déhanchant dans une boîte de nuit. Bien sûr même si ce travail avait quelque chose de dégradant, elle y prenait du plaisir et se disait que ça ne pouvait être que bénéfique pour ses études. Ca ne pouvait pas faire de mal de danser plus que ce qu’elle ne faisait lors de ses entraînements. Quand elle était arrivée à Dublin, elle avait passé six mois à vivre de ses économies avant de se rendre compte que ça ne suffirait pas. C’est comme ça qu’elle était arrivée là.
Après avoir enfilé une tenue plus passe-partout, Carmen enfila sa veste en jean trop grande pour elle et sortit par ce que le patron se plaisait à appeler « L’entrée des artistes ». Elle habitait un petit studio à trois bons kilomètres de là. Comme à son habitude, elle pressait le pas quand elle traversait les ruelles plus sombres que les autres, mais visiblement pas assez. « Eh j’te reconnais toi, la petite danseuse là. » Carmen sentit son haleine alcoolisée bien trop près d’elle, et une main la tirer par la manche. A Londres, elle n’aurait eu qu’à prononcer son nom, le nom de son père, pour terrifier tout le monde. Ici, elle n’avait pas cette arme. « Lâche moi sale ivrogne ! » Elle sentit la main de l’homme se serrer encore plus sur son bras. « Espèce de salope, t’as évité mon regard toute la soirée exprès pour m’exciter hein ? » « T’as pas entendu la jeune fille ? Lâche là. Regarde toi, t’es bourré. Moi tu vois, je tiens parfaitement debout et j’ai un bon bras, tu peux me croire. » L’homme lâcha aussitôt son bras et fit quelques pas en arrière, pendant que Carmen regardait avec une admiration non dissimulée celui qui venait de la tirer d’une mauvaise affaire. « Ca va, je rigolais. » Il disparût aussi rapidement qu’il était venu, et Carmen resta face à face avec son sauveur. Elle se demanda si elle n’était pas en train de rêver et se pinça discrètement dans le creux de la main. Non. C’est qu’il était vraiment pas vilain son sauveur. Même carrément beau. « Je peux vous remercier en vous offrant un verre ? Moi c’est Carmen. » Il lui sourit et lui serra la main qu’elle lui tendait. « Keenan. »
 Elle se réveilla à ses côtés. Elle se demanda ce qu’il avait bien pu prétexter à sa femme pour pouvoir passer la nuit avec elle. Elle avait horreur de penser à ça, de songer à sa femme quand elle était avec Keenan, mais elle n’arrivait pas à faire autrement, elle y pensait, inlassablement, au moins cinq minutes chaque jour. Chaque jour elle avait un peu plus de mal à se regarder dans une glace en sachant qu’elle était la maîtresse d’un homme. Et pourtant pour rien au monde elle ne renoncerait à Keenan, elle en était éperdument amoureuse, même si elle avait peur de lui exprimer clairement ses sentiments. Il était beau quand il dormait. Il était toujours beau. Surtout quand il la prenait dans ses bras.
Carmen l’aimait, c’était indéniable. Elle l’aimait même trop pour le partager avec une autre femme, sa femme. Elle en avait marre de cette situation, de devoir se cacher, de ne pas pouvoir vivre son histoire d’amour au grand jour. Marre de devoir seulement se contenter « du reste », de combler l'emploi du temps de Keenan. Mais elle acceptait tout ça, pour le moment, parce qu’elle tenait énormément à lui. Carmen passa ses doigts fins dans les cheveux de Keenan, ce qu’elle adorait faire chaque fois qu’elle le voyait. Elle se sentait bien avec lui, comme apaisée. Elle se pencha vers son oreille et chuchota : « Chéri, tu dors ? » Il bougea légèrement et émit un grognement attendrissant. « Plus maintenant ... Carmen ... » Elle avait l’habitude de le réveiller en pleine nuit, du moins les rares nuits qu’ils passaient ensemble, en lui demandant s’il dormait. Et ce qui était merveilleux, c’est qu’il ne l’avait encore jamais envoyé sur les roses. « Désolée désolée ... Je voulais te dire que ... je tiens énormément à toi. Et je trouve qu’on ne se voit pas assez. » Il se redressa, à présent éveillé, et se tourna vers la jeune femme en s’appuyant sur un coude. « Bientôt Carmen. Je te le promets. D’accord ? Je te le promets. » Il l’embrassa et ils firent l’amour sur cette promesse. - Spoiler:
votre pseudo + pas de pseudo votre prénom + émeline un petit surnom qui vous colle au teint ? + ben ... non, malheureusement région/pays + Île de France. votre âge Dix-huit ans.
- Code:
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<perso><pris>aimee teegarden</pris> + carmen wittelsbach</perso>
Dernière édition par Carmen Wittelsbach le Mer 29 Mai - 15:11, édité 23 fois |
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Saphyra E. Wenson › messages : 38
› date d'arrivée : 25/05/2013
| | Sujet: Re: ✝ la maladie d'amour Lun 27 Mai - 14:37 | |
| Bienvenue, bon courage pour ta fiche  |
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L. Keenan Carlson › messages : 54
› date d'arrivée : 26/05/2013
| | Sujet: Re: ✝ la maladie d'amour Lun 27 Mai - 15:17 | |
| Bienvenue parmi nous et encore mille fois d'avoir mon scénario  si tu as la moindre question, n'hésite pas à me harceler de mp's  |
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Invité Invité | | Sujet: Re: ✝ la maladie d'amour Lun 27 Mai - 15:49 | |
| Même si on va pas s'aimer, je passe sur ta fiche parce que j'aime trop laisser ma trace  Bienvenue et bonne chance pour ta fichounette  J'adore Aimee super choix de la mort qui tue  Ok, maintenant je sors  |
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Abiageal O'Hara ❀ › messages : 182
› date d'arrivée : 16/05/2013
| | Sujet: Re: ✝ la maladie d'amour Mar 28 Mai - 8:33 | |
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Carmen Wittelsbach › messages : 12
› date d'arrivée : 27/05/2013
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Carmen Wittelsbach › messages : 12
› date d'arrivée : 27/05/2013
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L. Keenan Carlson › messages : 54
› date d'arrivée : 26/05/2013
| | Sujet: Re: ✝ la maladie d'amour Mer 29 Mai - 19:59 | |
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félicitation
Ô toi douce monotonie, je te fuis
Tu trouves peut-être ta fiche trop courte mais pas moi ^-^ Je trouve que tout est bien résumé et j'adore ton style d'écriture :D Hâte de faire mille et rp en ta compagnie Bravo, tu es validé(e). Ta fiche, étant complète, va être redirigée dans le sujet adequat si ça n'a pas été déjà fait. Tu vas ou as été ajouté au groupe HIVER, félicitation ! Si tu ne l'as pas déjà fait, nous t'invitons à lire les annexes concernant la ville et les coutumes du pays, se trouvant ici Afin d'avoir de la matière à exploiter durant tes rp, nous te conseillons fortement d'ouvrir un topic de lien et d'aller en demander à ceux qui t'inspire. Si tu veux créer un scénario, n'hésite pas à cliquer ici et si jamais tu as des questions, tu peux nous envoyer un mp, nous y répondrons sans problème. N'oublie pas de jeter fréquemment un coup d'oeil par ici, étant donné que cette catégorie regroupe toutes les news importantes à prendre en compte. Si tu as deux minutes à nous accorder, nous te prions de bien vouloir voter pour le caméléon toutes les deux heures. Bon jeu et bienvenue sur je fais le caméléon |
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Carmen Wittelsbach › messages : 12
› date d'arrivée : 27/05/2013
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